par Nicole Fouché, présidente de REFH
REFH n’est pas intervenue, quand la polémique faisait rage, entre, d’un côté, les tenants du choix vestimentaire sans condition pour les jeunes filles dans les établissements scolaires et, de l’autre côté, les tenants de l’obligation de porter – dans les dits établissements — une tenue non sexiste ? Nous pensions que la question — choix personnel des jeunes filles versus contrôle de ce choix par les autorités scolaires — n’était pas pertinente. Le débat, on l’a vu, via la presse, laisse un goût amer d’indécision alors que les solutions existent. Mais, pour résoudre cette question, il faut faire un pas de côté.
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